Claude Faber livre ici un témoignage intime sur une ville vivante, avec son histoire, ses grandes figures, ses artistes, mais aussi et surtout les gens qui l’habitent et en font sa respiration. Il n’hésite pas non plus à porter un regard critique, sans concession, sur les jours sombres : scandales médiatiques et économiques, procès de Norbert Garceau et débat sur la peine de mort en France, explosion de l’AZF et désastre humain et écologique qu’elle a causé.
Pour autant, sa langue poétique dit les beautés et les richesses cachées de la ville rose, le charme des petits riens qui font les grandes vies simples, avec la poésie du quotidien.

Après avoir vécu plus de trente ans à Toulouse, Claude Faber, né en 1964, réside désormais dans les Pyrénées-Orientales. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont La poésie de l’étoile, dialogues avec Armand Gatti (Éd. Descartes et compagnie, 1998), L’anarchie, une histoire de révoltes (Éd. Milan, 2002), Achille Viadieu, d’ombre et de courage (Éd. Privat, 2013), Les contes de routes et de déroutes (Éd. Mon petit éditeur, 2016), La Mer du vent (Éd. Encres Vives, 2017) ou encore La clarté du silence (Éd. Rafael de Surtis, 2018).
Reporter pendant plus de quinze ans pour les magazines Géo, Grands Reportages, National Geographic), puis professionnel du monde de la communication, il est aussi l’un des membres fondateurs du Tactikollectif, association toulousaine d’actions citoyennes et culturelles et le fondateur de l’association littéraire Les mots, l’émotion qui dirige La Maison des mots à Port-Vendres (66).