18,00 €
Éditeur :
GINKGO
Collection :
Mémoire d’homme
414
pages
Format :
13 x 21,5
Façonnage :
broché
Parution : 1 septembre 2013
EAN :
9782846792165
ISBN :
978-2-84679-216-5
Mémoires d’un hoche-queue
« …À nous deux donc, mémoire ! Tâchons de ne pas trop mentir par omission, d’être salace quand il le faut, de s’avouer critiquable si la vérité l’exige, sublime sans retenue s’il y eut des instants de lumière. Vachement dur d’être un bonhomme… »
Jacques Rollet fut, durant trente ans, professeur de français dans le Bassin méditerranéen et les Balkans. C’est donc au soir de sa vie, qu’il décide de consacrer sa plume et son temps aux souvenirs : Mais son livre n’est pas la simple présentation d’une vie professionnelle, des paysages et des situations rencontrés au long des postes et des fonctions.
En fait, ceux-là ne tiennent qu’une place limitée : décor plus que sujet, construit pour le thème qui lui est cher : la Femme, ou plutôt les femmes rencontrées, connues, aimées et qui jouèrent un rôle majeur, primordial.
Galant, lascif, surprenant, érotomaniaque, choquant, tels sont les qualificatifs que l’on peut attribuer à son texte ; il faut assurément et également y voir un récit attachant, authentique, mélancolique et sans concession ; en somme profondément humain, voire humaniste.
Charlotte, Rosette, Sarah, Inge, Yoyo, Anna, Roula, Hélène, Annie, Zahra… presque toutes les figures féminines sont ici et ainsi présentes. N’y voyons pas une simple galerie des conquêtes, colonne Trajane de l’érotisme pour prendre une image qu’il affectionnerait, mais une réflexion sur un passé, désabusée, nostalgique également, apaisée maintenant et peut-être repentante. Là n’est pas le moindre paradoxe des Mémoires d’un hoche-queue.
Jacques Rollet, ancien professeur de français à l’étranger, est écrivain. Il vit au Pertuis, dans le sud de la France, dans un petit appartement rempli de livres, encombrant jusqu’aux couloirs, à ne plus savoir où les placer…
Jacques Rollet fut, durant trente ans, professeur de français dans le Bassin méditerranéen et les Balkans. C’est donc au soir de sa vie, qu’il décide de consacrer sa plume et son temps aux souvenirs : Mais son livre n’est pas la simple présentation d’une vie professionnelle, des paysages et des situations rencontrés au long des postes et des fonctions.
En fait, ceux-là ne tiennent qu’une place limitée : décor plus que sujet, construit pour le thème qui lui est cher : la Femme, ou plutôt les femmes rencontrées, connues, aimées et qui jouèrent un rôle majeur, primordial.
Galant, lascif, surprenant, érotomaniaque, choquant, tels sont les qualificatifs que l’on peut attribuer à son texte ; il faut assurément et également y voir un récit attachant, authentique, mélancolique et sans concession ; en somme profondément humain, voire humaniste.
Charlotte, Rosette, Sarah, Inge, Yoyo, Anna, Roula, Hélène, Annie, Zahra… presque toutes les figures féminines sont ici et ainsi présentes. N’y voyons pas une simple galerie des conquêtes, colonne Trajane de l’érotisme pour prendre une image qu’il affectionnerait, mais une réflexion sur un passé, désabusée, nostalgique également, apaisée maintenant et peut-être repentante. Là n’est pas le moindre paradoxe des Mémoires d’un hoche-queue.
Jacques Rollet, ancien professeur de français à l’étranger, est écrivain. Il vit au Pertuis, dans le sud de la France, dans un petit appartement rempli de livres, encombrant jusqu’aux couloirs, à ne plus savoir où les placer…