Tout le monde croyait que Bram Johnson était mort. Accusé d’avoir tué le caporal Lee, il avait en réalité pris la fuite dans le Grand Nord, avec sa meute de loups. Alors qu’il a disparu depuis quelques années, le capitaine Philip Brant retrouve sa piste, grâce à une trace laissée par Johnson : un mystérieux « piège d’or », tressé avec les cheveux blonds d’une femme. C’est le début d’une enquête inattendue pour Philip Brant, et d’un voyage périlleux au cœur du Grand Désert blanc.
Le Piège d’or est considéré par les traducteurs de James Oliver Curwood comme « l’une de ses meilleures œuvres ».
Impossible de résister à l’appel du voyage, au suspense de cette course-poursuite, et aux nombreux mystères qui jalonnent le récit, notamment celui autour du personnage de « l’homme-loup », Bram Johnson…
Des descriptions de paysages puissantes et poétiques, criantes de vérité. Ces aventures immergent dans le Grand Nord, son barren, ses aurores boréales, et nous entraînent jusqu’au pays des Esquimaux.
Sommaire
« Si claire était la nuit, que semblaient vivantes les grandes ombres projetées sur la neige par les sapins. Le ciel, au-dessus, aussi limpide qu’une pleine mer, était criblé de milliards d’étoiles et la Grande Ourse resplendissait, comme une constellation de petits soleils. L’univers pouvait se passer de la lumière de la lune. À une distance de trois cents mètres, Philip aurait pu voir marcher un caribou… »
Roman jeunesse, dès 9 ans